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Le cœur du projet de notre asbl Shisha Seva - Parrainage Inde est et reste en première place l’enseignement. Nous aidons à rendre possible qu’un enseignement de qualité soit délivré à des enfants qui n’y auraient autrement jamais accès.

Shisha Seva travaille en collaboration avec des ordres religieux, essentiellement avec les pères jésuites et les Sisters of Jesus and Mary. Ceci est un choix conscient, car ces ordres disposent déjà d’une organisation, de personnel et d’une infrastructure (poste de mission avec école et 'boarding' ou internat).

Cela permet dès lors à Shisha Seva de se concentrer sur son but principal: la possibilité de délivrer un enseignement de qualité aux enfants les plus défavorisés de l’Inde.

Ceci se fait en donnant aux postes de mission la possibilité d’accueillir ces enfants, de les envoyer à l’école (il s’agit souvent de la première génération à être scolarisée) et surtout de les garder dans un système scolaire jusqu’à la fin de leur formation.

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Le cœur du projet

Quels enfants?

Les enfants dont Shisha Seva s’occupe, appartiennent aux castes les plus basses de la société indienne ou à des familles sans caste (dalits). Certains sont aussi originaires de communautés adivasis (la population tribale autochtone de l’Inde, qui vit véritablement en marge ou même en-dehors de la société dans les régions les plus isolées).

Bien que le système de castes ait été abrogé par la loi et que d’autres lois soutiennent favorablement ces groupes de la population, il ne semble pratiquement pas bouger grand-chose à la base. Cette base, c’est précisément l'enseignement fondamental qui veut offrir à ces enfants une scolarisation de valeur et les rendre conscients de leurs droits et de leur dignité.

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De la qualité

Dans les postes de mission, les prestations scolaires des enfants sont suivies de près. Il y a des heures d’étude accompagnée et des activités parascolaires.

Les filles et les garçons qui ont les compétences et la persévérance de poursuivre leurs études après l’école primaire, en reçoivent la possibilité.

Premier contact

Par manque d’écoles maternelles dans les villages, l’enseignement commence parfois dans des petites classes improvisées. Pour les plus petits, le travail consiste à leur faire accepter d’abandonner pour un moment leur liberté absolue et de canaliser leur énergie dans un premier apprentissage de chansonnettes, de chiffres et de lettres.

Les responsables, souvent des bénévoles, essayent à ces occasions de rendre aussi les parents conscients de la nécessité de la scolarisation. Dès l’âge de cinq ans, les enfants peuvent rejoindre l’école de la mission la plus proche. Vu la distance entre leur village et le poste de mission, ils restent dans les boardings ou internats.

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